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dimanche 15 novembre 2015

ATTENTATS À PARIS

ATTENTATS À PARIS



Image illustrative de l'article Attentats du 13 novembre 2015 en France


Les attentats du 13 novembre 2015 en France, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique, sont une série de fusillades et d'attaques suicides meurtrières perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie par trois commandos distincts.

Une première attaque a lieu à Saint-Denis, aux abords du stade de France, où se joue un match amical de football France-Allemagne, auquel assiste François Hollande, et où trois terroristes se font exploser (ce sont les tout premiers attentats-suicide en France). D'autres attaques ont ensuite lieu à Paris, dans plusieurs rues des 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants; deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser. Enfin, l'attaque la plus longue et la plus meurtrière a lieu dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal et où trois autres djihadistes ouvrent le feu sur le public, avant qu'un assaut des forces de l'ordre n'y mette fin et ne tue les terroristes.
Un communiqué de Daech ainsi que l'enquête policière laissent supposer qu'un quatrième attentat aurait pu être commis dans le 18e arrondissement. L'enquête atteste en revanche qu'un attentat-suicide était programmé cinq jours plus tard dans le quartier d'affaires de La Défense. « C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daech » déclare François Hollande la nuit des attentats.
Au 14 novembre 2015, le bilan total des victimes fait état de 129 morts et de 352 blessés, dont 99 en situation d'urgence absolue. Un blessé décède quelques jours plus tard, portant le nombre de morts à 130. Le 21 janvier 2016, Christiane Taubira, ministre de la Justice, annonce que 41 des personnes blessées sont encore hospitalisées. Ces attentats sont les plus meurtriers perpétrés en France depuis la Seconde Guerre mondiale et les seconds en Europe, après les 191 morts des attentats de Madrid du 11 mars 2004.

L'ampleur de l'événement est telle que le gouvernement décrète l'état d'urgence : la police effectue de nombreux contrôles dans tout le pays pour traquer les criminels en fuite et prévenir de futures attaques, tandis que le président de la République rencontre tour à tour les grands dirigeants mondiaux afin de mettre sur pieds une coalition élargie pour « détruire Daech » dans ses fiefs de Syrie et d'Irak. Le belgo-marocain Abdelhamid Abaaoud, qui selon les autorités françaises a joué un « rôle déterminant » dans l'organisation de ces attentats, est tué en même temps que deux complices le 18 novembre 2015, lors d'un assaut donné par les forces de police à Saint-Denis.

ATTENTATS À PARIS

ATTENTATS À PARIS
Image illustrative de l'article Attentats du 13 novembre 2015 en France


Les attentats du 13 novembre 2015 en France, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique, sont une série de fusillades et d'attaques suicides meurtrières perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie par trois commandos distincts.

Une première attaque a lieu à Saint-Denis, aux abords du stade de France, où se joue un match amical de football France-Allemagne, auquel assiste François Hollande, et où trois terroristes se font exploser (ce sont les tout premiers attentats-suicide en France). D'autres attaques ont ensuite lieu à Paris, dans plusieurs rues des 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants; deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser. Enfin, l'attaque la plus longue et la plus meurtrière a lieu dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal et où trois autres djihadistes ouvrent le feu sur le public, avant qu'un assaut des forces de l'ordre n'y mette fin et ne tue les terroristes.
Un communiqué de Daech ainsi que l'enquête policière laissent supposer qu'un quatrième attentat aurait pu être commis dans le 18e arrondissement. L'enquête atteste en revanche qu'un attentat-suicide était programmé cinq jours plus tard dans le quartier d'affaires de La Défense. « C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daech » déclare François Hollande la nuit des attentats.
Au 14 novembre 2015, le bilan total des victimes fait état de 129 morts et de 352 blessés, dont 99 en situation d'urgence absolue. Un blessé décède quelques jours plus tard, portant le nombre de morts à 130. Le 21 janvier 2016, Christiane Taubira, ministre de la Justice, annonce que 41 des personnes blessées sont encore hospitalisées. Ces attentats sont les plus meurtriers perpétrés en France depuis la Seconde Guerre mondiale et les seconds en Europe, après les 191 morts des attentats de Madrid du 11 mars 2004.

L'ampleur de l'événement est telle que le gouvernement décrète l'état d'urgence : la police effectue de nombreux contrôles dans tout le pays pour traquer les criminels en fuite et prévenir de futures attaques, tandis que le président de la République rencontre tour à tour les grands dirigeants mondiaux afin de mettre sur pieds une coalition élargie pour « détruire Daech » dans ses fiefs de Syrie et d'Irak. Le belgo-marocain Abdelhamid Abaaoud, qui selon les autorités françaises a joué un « rôle déterminant » dans l'organisation de ces attentats, est tué en même temps que deux complices le 18 novembre 2015, lors d'un assaut donné par les forces de police à Saint-Denis.